A Study in Terror / Sherlock Holmes contre Jack l'éventreur by/de James Hill

English

Is the excellent title of a Sherlock Holmes movie, made in 1965. I had it on my numerical vcr, and had the time to enjoy 45 minutes of it before it stopped for mysterious reasons. In this story, Holmes is running after… Jack the reaper!

There is a great deal of humour, and the kitsch coloration of this movie makes it look like a fifties postcard, anyway I wanted more! So if someone recorded it somewhere and would be kind enough to send me a copy I’ll be very, very appreciative. Sherlock Holmes has always been one of my favourite’s heroes! Do you know that the character of Doctor House was inspired by the 221b Baker street drug addict?

Actually if you look closer you’ll see that most of the detectives and murder stories focused on the process, like CSI, Bones,… are inspired by the techniques of Arthur Conan Doyle stories, and if you look even closer, all the other kind of detective stories with medium and paranormal psychics, could also be inspired by Conan Doyle because communicating with the unknown was one of his hobbies.

With a magnified lens you’ll see that all the serial heroes have been created by those writers of the end and beginning of the nineteenth/twentieth century: all the vampires and slayers are sons of Dracula and Van Helsing (True Blood, Angel, Buffy, Moonlight, Supernatural…) Another interesting thought is why if British writers are really gifted for storytelling, and British creative really gifted for creating good series, why can’t they be good at making films (besides adaptations)? My thoughts were stuck on that last night.

A Study in Terror starts in a pub where a jet black singer (Georgia Brown)sings like a Moulin Rouge realistic singer, her way of being was so continental that I almost thought that she was dubbed on the English lyrics, but this is brilliant because she gave right away what’s missing most of the time in those entertainment movies: real flesh, heat and sensuality, then after that in a gory and theatrical way murder are committed. This film could be called Study in red, because this colour for blood and prostitutes clothes and accessories seems to be the greatest visual clue of the film! A hitchcockian sense of humour postpone the third murder, first it is a cop, then a butcher, and each time we thought it was the maniac.

What I also very much like in this movie is that Holmes is intrigued by the fact that a woman is teasing him on going after the murderer. He’s almost more interested in looking for the woman, than looking for the murderer! It’s sad that I didn’t have time to see the her, I must say that if it is young Judi Dench I’d be disappointed, because though she was very cute, she’s not sexy, and I am a woman loving Holmes stories so I want his romantic interest fixed on a woman woman!

So this film is obviously very good and a pleasure to watch, please, please let me know more about it, it’s my request…

Français :

Le titre anglais est bien plus poétique et l’on pouvait le traduire par Etude en terreur. De ce film sorti en 1965, je n’ai eu le temps d’apprécier que 45 minutes avant que mon magnétoscope numérique ne décide de me laisser tomber. je voulais en voir plus donc si quelqu’un l’a aussi enregistré en VO please, il passait sur cinefx ou cinepolar je ne sais plus et voulais bien me faire passer l’enregistrement, je serais plus qu’appréciative!

Ce film est bourré d’humour noir, et sa coloration ultra kitsch rappelle les cartes postales hawaïenne des années 1950.

Sherlock Holmes a toujours été un de mes personnages de fiction préféré. Saviez vous que le Docteur House a été inspiré du drogué du 221b Baker street ?

En fait si on y regarde de plus prés la plupart des histories d’enquêtes et de meurtre contemporaines se focalisant sur l’enquête en elle-même comme les Experts, Bones… ont été inspirées par les techniques du personnage de Conan Doyle. Et si on y regarde d’encore plus prés toutes les autres histoires de détectives avec mediums et autres voyants pourraient aussi être inspirées de Conan Doyle parce qu’après tout communiquer avec les morts était un de ses hobbies favoris !

Si on y regarde, disons à la loupe holmesienne, on peut voir que tous les héros de séries ont été crées par ces écrivains de la fin et du début dix neuvième/vingtième siècle: tous les vampires et chasseur de vampires (True Blood, Angel, Buffy, Moonlight, Supernatural) sont des enfants de Dracula…

Pourquoi les écrivains et les créatifs britanniques sont ils si doués pour raconter des histoires et créer de très bonnes séries quand ils sont globalement incapable de faire de bon films (hors des adaptations de romans brit ) ?Mes pensées étaient bloquées là-dessus hier soir !

Sherlock Holmes contre Jack l’éventreur commence dans un pub où une chanteuse brune(Georgia Brown) chante comme les réalistes de la fin du 19ieme aux années cinquante le faisaient en France, avec ce mélange d’ennui, de vécu et d’émotion profonde. Cette femme, donc donne dès le début une touche rare dans la filmographie anglaise : de la chaire, de la chaleur, et de la sensualité ! Après cela dans un gore très daté et théâtral, les meurtres sont commis. Ce film pourrait s’appeler étude en rouge, tant il est focalisé sur cette couleur : autant celle du sang, que des chaussures, et robes des prostituées ! Un sens de l’humour très hitchcockien retarde le troisième meurtre, plusieurs fois on pense que la petite péripatéticienne va y passer mais non, il s’agissait d’un flic, puis d’un boucher mais pas de notre maniaque ! Holmes s’intéresse au cas de jack l’éventreur parce qu’une femme anonyme l’a mis sur la piste et ce que j’aime assez c’est que sa motivation est pratiquement plus de chercher la femme que de chercher l’assassin ! Hélas je n’ai pas eu le temps de voir cette femme, et j’espère que ça n’est pas la jeune Judi Dench, qui bien que très mignonne serait assez insipide comme intérêt romantique de ce cher Sherlock !

Ce film est de toute évidence très bon, et c’est pour ça que si vous avez la suite je suis preneuse. Pensez à moi !