Tuesday 19 February 2008

White/Blanc de/by Krzysrof Kieslowski

English
Dominique and Karol are divorcing, because Karol hasn’t been a husband to Dominique since they got married. He has nothing left, and in a last attempt of reconciliation miserably failed keeping his erection. As a true French girl, Dominique set fire to their beauty shop and decided to accuse him of having done that to revenge. Karol ends up in the metro playing music with a comb, when he meets another polish guy who says that he’ll bring him back to Poland, but as Karol lost all his papers in the cruel divorce, he’ll travel in his suitcase…
Karol doesn’t really speak French, and with his incapacity of being a husband turn into a sort of burlesque charming character, a kind of charming clown, who plays tricks.
To me White is more imaginative than Blue, the story less expected, the symbolism less emphatic, maybe Kieslowski was compelled to symbolism like Karol to burlesque because it is ways to express oneself without using language. Is it because Kieslowski is more comfortable in his own language and don’t need to be burlesque to express what he can clearly conceive? I don’t know. I prefer this one because of its dimension of hope, love, fun, and sexuality or desire, even if the ghost of despair is never far away. It’s like a vast operation of Russian roulette. Danger is really present and the humour is dark and morbid, and of course cruel with its characters, but it’s far from shallowness and the naivety, simplicity of the characters, gives real emotions and touch deeply. There is no scheme of revenge, it all sits in the depth of passion and eternal forgiveness: “You almost destroyed me my love, but this love I have for you made me reborn from my ashes to conquer you again” it’s an hopeful No End
Français :
Dominique et Karol divorcent, car Karol n’a pas été capable de consommer le mariage, du moins depuis qu’ils se sont mariés. Il ne lui reste plus rien et dans une dernière tentative de réconciliation il va échouer misérablement à maintenir son érection. Comme une vraie française Dominique, pour se venger mettra le feu, à leur salon de coiffure, et l’en accusera auprès de la police. Karol se retrouve dans le métro à jouer de la musique avec un peigne. Lorsqu’il rencontre un autre polonais qui lui propose de le ramener en Pologne., mais Karol a perdu ses papiers dans son cruel divorce, il voyagera donc dans sa valise.
Karol ne parle pas vraiment le français, et son incapacité à être viril le transforme en une sorte de charmant clown burlesque avec ses tours.
Pour moi Blanc est plus imaginatif que Bleu, l’histoire est plus originale moins attendue, le symbolique moins emphatique. Peut être que Kieslowski était poussé au symbolisme comme Karol au burlesque, parce que se sont des façons de s’exprimer sans le langage. Est-ce parce que Kieslowski se sent plus à son aise dans sa langue maternelle, et n’a plus besoin de symbolique pour exprimer ce qu’il conçoit clairement que ce film –ci est plus vivant ? je ne sais pas.
Et je préfère celui-là à cause de sa dimension d’espoir, d’amour, de jeu, et de sexualité ou bien de désir. Même si le fantôme du désespoir n’est jamais loin. C’est comme une vaste opération de roulette russe. Le danger est réellement présent et l’humour noir est morbide et bien entendu cruel avec ses personnages, mais la profonde sincérité des personnages, donne des émotions réelles et touche profondément. Il n’ya pas de vengeance, tout se tient dans cet équilibre de la chute : « tu m’as presque détruit, mon amour, mais cet amour que j’ai pour toi, m’a fait renaître de mes cendres seulement pour te reconquérir. » Ce serait comme un positif de Sans Fin.

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